soit 65 milliards $ par année.
L'auteur et vice-président ce think tank qui prêche pour le libéralisme économique croit qu'il faut s'intéresser à la valorisation de l'eau douce puisque l'exportation de 10% de ses réserves permettrait des revenus de 65 cents par mètre cube, le prix actuel du dessalement de l'eau de mer, soit 65 milliards $ par année. Un dividende environ 5 fois plus important que ce qu'Hydro-Québec fournit à la province.
Le Canada possèderait 8% du stock mondial d'eau douce, 3% au Québec. Un rapport de l'UNESCO de 2002 souligne que sans une meilleure gestion des ressources en eau et des écosystèmes associés, 2/3 de la planète manqueront d'eau d'ici 2025.